Mobilité
Le francophone se bouge pour une mobilité durable mais le chemin est encore long
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«Je ne pourrais pas me passer de ma voiture là où j'habite !»
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6 francophones sur 10 se disent prêts à modifier dès aujourd’hui leurs modes de transport pour réduire leur empreinte carbone.
Le francophone fait preuve d’une réelle prise de conscience de son impact et de sa responsabilité pour tendre vers une société durable. Cela se traduit dans de nombreux aspects de sa vie quotidienne comme ses déplacements.
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1 francophone sur 2 a déjà modifié ses habitudes en termes de mobilité
En particulier, les solutions de mobilité douce sont plus largement adoptées actuellement.
35% des francophones déclarent déjà remplacer des trajets automobiles par la marche, le vélo, les transports en commun. 1 jeune de moins de 25 ans sur 4 utilise les solutions de mobilité partagée.
Les plus actifs en matière de mobilité durable sont les plus jeunes, les habitants des grandes villes, les Bruxellois, les Brabançons et les groupes sociaux supérieurs.
Les francophones sont volontaires et envisagent de nombreuses alternatives à l’avenir.
78% d’entre eux envisagent de marcher davantage, 54% veulent utiliser plus souvent les transports en commun, 39% opteront pour le vélo, trottinette,….
Si actuellement 1 francophone sur 10 a déjà renoncé définitivement à un véhicule familial, 18% envisagent de se séparer de leur voiture principale et 37% de leur voiture secondaire dans les 2 ans.
Cependant, l’attachement des francophones à leur voiture (thermique) reste fort.
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Par habitude ou nécessité, les personnes de 55 ans et +, les habitants des communes rurales et, de manière générale, ceux qui habitent en dehors de Bruxelles et de la dorsale wallonne sont davantage attachés à leur véhicule thermique.
L’avenir en électrique ?
Si l’adoption des véhicules électriques est encore limitée, 31% des francophones envisagent de passer à une voiture hybride ou électrique à l’avenir.
Les hommes, les moins de 45 ans et les groupes sociaux supérieurs sont les plus convaincus tandis que les femmes, les plus âgés et les groupes sociaux moyens (3 à 6) sont plus frileux.
Des freins restent à lever pour une adoption massive de l’électrique auprès des francophones avides de sérénité et de tranquillité d’esprit.
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Opportunités s’offrant aux annonceurs :
- Informer, accompagner, encourager, inciter les changements en termes de mobilité
- Développer les alternatives à la voiture, les transports en commun accessibles et disponibles pour tous et partout
- Favoriser et faciliter la mobilité douce, la multi mobilité
- Communiquer pour convaincre et effacer les freins liés aux voitures électriques ; développer les infrastructures et les technologies
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